Nutrition : 16 fruits et légumes à consommer Bio

Avant toute chose, idéalement, privilégiez les fruits de saison. Ils seront bien meilleurs et si vous pouvez vous fournir auprès d’un producteur local, ou du moins chez un primeur qui les favorise, vous réduirez votre emprunte écologique.

Petite aparté faite, revenons-en à nos fruits et légumes 😉

Les pesticides et leurs effets

Le problème avec la grande majorité des fruits (mais aussi des légumes) est qu’ils sont soumis aux aléas de la nature : climat, tempêtes, insectes et autres vers… Contre cela, ils sont plus ou moins fortement traités avec bon nombre de pesticides et autres produits chimiques.

A titre d’exemple, les pommes non bio subissent en moyenne 36 traitements chimiques ! Et comme leur peau concentre de nombreux bienfaits, il est dommage de la retirer (il est reconnu que celle-ci aide notamment à prévenir les risques de cancer et de maladies cardio-vasculaires).

Si pour les pommes il est possible de limiter quelque peu l’effet des pesticides (leur peau étant tellement fine que le fruit sera de toute façon imprégné), que faire pour les fruits qui ne s’épluchent pas comme les fraises, les cerises ou le raisin ? Pour ceux-ci, il est donc particulièrement important de les choisir bio.

Tout ces pesticides contiennent de nombreux perturbateurs endocriniens, c’est-à-dire des molécules qui perturbent le fonctionnement de l’organisme et agissent sur l’équilibre hormonal. Elles sont ainsi susceptibles d’avoir des effets indésirables sur la santé en altérant des fonctions telles que la croissance, le développement, le comportement et l’humeur, l’utilisation et le stockage de l’énergie, la fonction de repos (le sommeil), la circulation sanguine, ou encore la fonction sexuelle et reproductrice.

Inutile donc d’aller plus loin pour comprendre les bienfaits d’acheter les fruits et légumes bio !

Liste des 16 fruits et légumes bio recommandés

Pour cela, je vous liste ci-dessous les 16 fruits et légumes répertoriés par l’EWC (Environnemental Working Group), qui recense ceux qu’il faut prioritairement consommer bio.

Et le budget dans tout ça !

Bien sûr, comme pour tout autre achat alimentaire, le bio reste plus cher, même si certains prix commencent à baisser. Il n’est donc pas évident se procurer tous ses achats bio à 100%. Le portefeuille risque de ne pas tenir…

C’est pour cela, que vous pouvez prioriser vos achats de fruits et légumes bio avec la liste fournie ci-dessus.

Enfin, n’hésitez pas à comparer les prix et faire au moins une fois le tour des magasins autour de chez vous. En effet, une étude réalisée en 2019 par « UFC Que choisir » montre que les grandes surfaces, supers et hypermarchés, pratiquent des prix souvent supérieurs aux enseignes bio spécialisées et à certains primeurs… Question de marge ?

Cela demande ensuite une certaine organisation : savoir dans quelle enseigne aller pour faire ses courses à moindre frais pour tel ou tel produit. Mais comme pour l’entraînement et la nutrition qui va avec, pour avoir de bons résultats, tout est une question d’organisation et de planification !

Nutrition : Indice glycémique ou charge glycémique ?

La pastèque : indice glycémique de 75 pour une charge glycémique de 5

L’indice glycémique

L’indice glycémique (IG) indique à quelle vitesse le glucose d’un aliment se retrouve dans le sang. Ce glucose va alors élever le taux de sucre dans le sang, c’est ce que l’on appelle la glycémie.

Or, plus un aliment possède un IG élevé, plus il fait monter la glycémie, et plus d’insuline sera libérée (hormone sécrétée par le pancréas et qui régule le taux de glucose dans le sang). A plus ou moins long terme, consommer trop d’aliments qui ont un IG élevé peut conduire à une perte de sensibilité à l’insuline des cellules de l’organisme. Ce dérèglement à l’insuline fait qu’elle perd en efficacité et se traduit par un trop plein de sucre dans le sang. Et à terme, cette résistance à l’insuline peut provoquer l’obésité, l’hypertension et le diabète de type 2.

Ainsi, en quelque sorte, l’IG définit la qualité des glucides mais ne prend pas en compte la quantité. Par exemple, la pastèque qui possède un IG de 75 serait à proscrire. Pourtant, c’est un aliment qui contient très peu de glucides en soi et est même sous la moyenne des principaux fruits.

La charge glycémique

A l’inverse, certains aliments à IG faible doivent être limités car ils se révèlent très sucrés. C’est la raison pour laquelle il est préférable de se rapporter à leur charge glycémique (CG).

Ainsi, si la charge glycémique d’une pastèque n’est que de 5, celle d’un aliment raffiné, comme les pâtes cuites « al dente » approchent les 12 (pourtant avec un IG de 40) ou bien même le riz blanc cuit dépasse les 20 (IG 50). Une seule portion de riz blanc apporte donc la même charge glycémique que 4 portions de pastèque !

Formule pour calculer la charge glycémique d’un aliment :

Tableau d’IG et de CG

Fruits

VOVINAM Zen®

Autre méthode d’entraînement issue du Vovinam Việt Võ Đạo mais axée davantage sur la maîtrise de son corps, le travail sur les postures (engagement des muscles profonds et stabilisateurs), l’équilibre, la proprioception (perception de son corps dans l’espace) et la respiration.

Le Vovinam Zen® se rapproche de pratiques telles que le Tai Chi Chuan (gymnastique chinoise douce), le Chi Kong (respiration et énergie interne), le Pilate® (gymnastique posturale) ou certains types de Yoga. Nécessitant qu’un bref échauffement et pouvant se pratiquer n’importe où, cette nouvelle discipline vous procurera une véritable sensation de bien-être général.

Prenez conscience de chaque partie de votre corps pour en prendre le contrôle, fortifiez-vous de l’intérieur puis relaxez-vous.